Western in a clear sky

"Instants de ma vie
Expression de ma conscience
Enfin c'est ainsi"

Ma photo
Nom :
Lieu : Paris, France

12 juin 2007

Changement

"Une bise légère
Un champ de blé au soleil
Vague qui avance"


Aller, on ferme.
Rendez vous ici pour la suite.

avec sans doute un transfert progressif du contenus.

28 mai 2007

Stress

Décidément, la période est pas super sur tout les plans. Après un week end fatiguant ou pour tenir un engagement (et un stand) j'ai renoncé a une opportunitée de descendre la voir; la journée de samedi a faillit me convaincre que j'avais fait une boulette tellement ce salon était mort, la journée de dimanche a un peu rattrapé le coup. Mais il reste un goût amer parceque franchement le coeur a tendance a se foutre pas mal des contingences matérielles. ça n'aurais été rien si j'avais pu la joindre malgrès tout au moins par téléphone, mais vu que après quelques appels, quelques messages, son téléphone a fini par ne même plus sonner, j'imagine un partable oublié sur un meuble ou dans le vide poche d'une voiture ayant finis par s'éteindre faute de batterie. Ce qui fait donc trois jours sans pouvoir lui parler...

A coté de ça, j'expérimente une fois de plus le concept du jour ferié mais travaillé quand même, sans même avoir la possibilité de poser un rtt parceque dans la boite, on n'as pas de rtt.. juste 35 heures mais en fait plutôt 40 ou u peu plus.

Et toujours a coté (mais physiquement cette fois, ça se passe dans l'appart juste a coté de la boite), les travaux de destruction/reconstruction se poursuivent a grand renfort de masse, perceuse, ponceuse, et autres marteau-piqueurs. bref, une super ambiance pas stressante du tout.

Bon, quand est ce qu'on invente enfin la téléportation ?

16 mai 2007

Fraises et Chantilly

Le goût de discussions sucrées et douces, à la fois; Mi sérieuses, mi légère.

15 mai 2007

Brise

"Un oiseau chante
Quand volette un papillon
Et vice versa"


En fait, c'est nul d'attendre.

14 mai 2007

Ciel brumeux

"Plaine rougeoyante
Un champ de blé embrassé
Soleil descendant"


Après un week end passablement maussade, mais qui aurais pu être bien pire, il faudra bien que je résiste trois jours a l'envie de l'appeller. Où comment glisser pas mal de news en quelques mots ^^

28 avril 2007

Etincelle multicolore

"Sable soulevé
Tourbillonne sous les embruns
Une plage d'été"


Petit retour sur ce samedi d'avril (et oui, cette note a été écrite bien plus tard, mais tant qu'a écrire dans l'ordre chronologique, façon journal).

Marseille donc, un jour de beau soleil. Arrivé en début d'après midi, j'ai un peu erré dans les rue afin de m'imprégner a nouveau de l'atmosphère marseillaise. Puis direction un fleuriste parcequ'elle le vaut bien. Puis la gare, parceque c'est un point de rendez vous facile a trouver.

Le reste de l'après-midi fût charmant et agréable, a attendre une glace qui faillit ne jamais arriver, les pied dans le sable, face à la mer. Il parais que l'attente amplifie énormément l'appréciation d'un instant, il en fût ainsi de la glace, le reste est prophétique.

Pour les curieux, la couleur était pêche tacheté d'un subtil incarnadin.

Quoi qu'il en soit, elle s'est évanouie à la tombée du jour, ne laissant qu'une étincelle multicolore.

28 mars 2007

Fourgueur de rêves

"Vent chargé de pluie
Disperse un fin brouillard
A l'orée du jour"


Grosso modo, c'est la définition "commerciale" de mon taff, bien sur on évite de dire que le rêve en question est d'origine parfois douteuse. Tant que ça ne se voit pas... Et dire que dans ce milieu, on se situe quand même dans les gris-clairs, et certe a la frontière, mais du bon coté de la ligne.

Voilà, ça c'était pour la minute taff. Le reste plus tard, histoire de garder de quoi blogger, vu que là j'ai déja été cinquante fois plus productif qu'en trois mois ^^

27 mars 2007

Plop

Probablement l'un des billets les plus court... histoire de faire frémir les flux rss.

03 janvier 2007

Tradition

"Un soleil terne
Au dessus d'un champ de blé
Une brume d'hivers"


Bonne année 2007 a tous.

13 décembre 2006

Galerie

"Un grand ciel bleuté
Est posé sur un nuage
Couvrant l'horizon"

" Ville lointaine
Une étendue forestière
Ecrin d'émeraude"

"Matin embrumé
Lac entouré de roseaux
L'arbre s'est caché"

"Fracas d'une lame
La tour défie l'océan
Quand tombe le jour"


Si les haikus étaient des tableaux, les verriez vous ?

08 décembre 2006

Arrache run express

"C'est un coup de vent
Qui ride le manteau d'hivers
Tel un fait divers"


Un petit post express pour annoncer mon prochain départ pour ce week-end qui sera Lyonnais. (Pour celles et ceux qui l'ignoreraient, y a lieu ce week end, la fête des lumières). Départ donc improvisé sur le pouce et a l'arrache. Il me reste une heure avant le départ, il me reste deux places dans la voiture, ceux qui voudraient venir a l'arrache sur Lyon sont les bienvenus, mais faites vite.

Au programme, voyage, évasion et détente autour d'une sympathique table de jeu.
Init

14 novembre 2006

Fugitif

"Une brise d'hivers
Venu couvrir la cité
d'un manteau de froid"


Rien qu'un instant fugitif, trop présent, trop furtif, qui échappe a mes sens.
Bref, un week end qui a défaut d'être lointain, fût reposant.


A part ceci, depuis mon retour sur paris, tout se passe bien, beaucoup de travail, quelques loisirs, et un certains nombre d'événementiels le week end. La principale pensée que cela m'inspire est que j'ai trop peu de temps pour voir toutes les personnes que je souhaiterais.

29 septembre 2006

Hop

"Par delà un pont
Serpente un chemin caché
Vers un horizon"


Dernier jours, dernières heures, et encore un grand nombre de minutes, quelques affaires encores a emballer et une ou deux bricoles a faire afin de cloturer cet épisode. Je n'ai pas encore eu le temps de mettre en ligne la photo du ciel bleu de la côte d'Azur, ça viendra prochainement. Aujourd'hui, il y ressemble, mais avec un soupçon de nuage. Soupçon parceque franchement, ça n'a de nuage que le nom, et c'est pas ce truc minuscule, etiolé, flottant dans le ciel qui va réussir a masquer un bout de soleil.

A part ça, que dire ?
en fait rien, ou pas grand chose.
un soleil couchant sur une ville, une voiture lourdement chargée dont les amortisseur ont visiblement très mal quittant doucement un parking, traversant les rails d'un tramway encore en travaux et se fondant dans la circulation.

fin de l'épisode, a suivre ...

27 septembre 2006

Voilà

"Sous un pont de bois
Coule une étrange rivière
Sur un pont de pierre"


Hop, une pierre de plus a l'édifice des années.

Par contre cette année, ça va pas être particulièrement festif, je suis a Nice, et le nombre de mes connaissances là bas se comptant largement sur les doigts d'une main, on va dire qu'il s'agit pour cette fois d'un non-évènement.

Au moins, le ciel est bleu (avec photo ce soir)

26 septembre 2006

Ecologie

"Lorsqu'un canard
Ressemble a un nénuphare
Serais t'il caché ?"


Un spam est passé a travers mon filtre aujourd'hui... une sorte de catalogue de produit "écologique". la phrase qui tue étant: "Ne contient pas de composants derives du petrole" ouaip, super c'est bien ça. Par contre l'emballage est une classique bouteille en plastique, cherchez l'erreur. Cela dit peut être que ce n'est qu'une bourde marketting et que le contenant est lui aussi a "Biogradabilite maximale". Ha tient, pas tout a fait, en fait, l'emballage est en "polyéthylène et polypropylène" il parais que ça se recycle bien, tout va donc bien, ce ne sont que des hydrocarbures. Pour info, le polyéthylène est le nom qu'on donne au plastique classique... oui, celui dont est fait les sac de supermarché. Pour le polypropylène, même combat. Car même si on dit que ça se recycle a 100%, ça n'en reste pas moins du bête plastique conventionnel issue de l'industrie pétrolière.

Dans le même registre, l'affirmation péremptoire: "Peu contaminant pour le milieu aquatique." ouaip, c'est super aussi ça... A coté est indiqué aussi: "Non teste sur les animaux." magnifique également, je me demande juste comment on fait pour affirmer que ce n'est pas nocif sans l'avoir testé. Si scientifiquement on est capable de dire que ce n'est pas nocif, le test sur le milieu aquatique et/ou sur des animaux ne devrait pas leur être nocif, non ? et faire le test au moins une fois pour être sur de ce qu'on avance permet d'éviter que des millions de consommateurs fassent le test en question en grandeur réelle a chaque utilisation.

Toujours a propos du "non testé" et bien c'est a peu de chose près du totalement archi-faux. Car si on peu concéder sans trop de soucis que le produit final n'a pas vraiment été testé, chacun de ses composants a fait l'objet de nombreuses études de toxicité. C'est d'ailleur ce qui permet de ne pas trop tester le produit final. Et les études de toxicité, ce n'est pas que des calculs théoriques. Maintenant, quand on mélange des composé chimiques (et ce, même lorsqu'il proviennent de plantes), ils réagissent et leurs propriétés se modifient; il en va de même pour leur toxicité. Ne pas tester un produit est suicidaire pour la planète. Heureusement, en s'appuyant sur les bases déjà acquises et en utilisant quelques technique, on doit pouvoir s'en sortir; par exemple en faisant de la culture d'épiderme pour tester divers trucs cosmétiques ou pas... le seul problème étant que mine de rien, ça s'appelle du clonage et que donc c'est un problème éthique de plus.

Pour ceux qui voudraient se faire une idée par eux même, j'ai trouvé ce site qui est des plus intéressant: Toxnet.

Tout ça pour commencer a discerter sur l'écologie ou je pense que nous n'abordons pas les problèmes de la bonne manière.

On parle globalement de la réduction de l'émission des gaz a effet de serre, de limitations de certaines substances polluantes, etc. La finalité de tout ceci étant que tout un chacun présuppose que les cycles naturels de notre planète permettrons de réguler ces substances. Ainsi, on traite l'océan comme une formidable machine de conversion permettant soit l'absorbtion, soit la dilution d'une quantitée phénoménale de substance. Ce qui en soi n'est pas faux... Excepté que l'activité humaine a généré de nouveaux flux sans penser a en faire des cycles. Or les flux artificiels provenant de l'activité humaine n'ont aucune raison de pouvoir être traité par les cycles naturels. Il devrait donc appartenir à l'homme de transformer ces flux en cycles qui viendrait alors s'intégrer dans le système planétaire, nous préservant ainsi de certaines grandes catastrophes annoncées.

Concernant par exemple les rejets de gaz carbonique, produit de la combustion d'a peu près toute chose et indiscociable de l'activitée industrielle humaine, il me semble totalement illusoire d'espérer en contenir durablement l'émission. En revanche, il serait techniquement parfaitement envisageable de développer en parallèle des industries consommant le gaz carbonique en question. Le seul problème serait alors d'équilibrer la consommation avec la production afin d'obtenir un cycle rendant l'utilisation du gaz en question neutre vis a vis de l'équilibre de notre planète.

Les solutions techniques ne sont pas forcément évidente, mais un problème est par nature difficile et si nous sommes capable d'envoyer des hommes sur la lune, de maitriser la fusion nucléaire et de développer des ordinateurs quantiques, se creuser un peu la tête pour transformer des flux destructurant en cycles ecologiquement neutre doit être de l'ordre du possible.

25 septembre 2006

Un jour de chance

Histoire de préciser tout de suite, non ce n'est pas aujourd'hui. Aujourd'hui est un jour assez quelconque, a l'exception du fait qu'une pluie diluvienne tombe sur Nice. En arrivant au bureau, les plombs avaient sautés, se garer devient une misère, la circulation est indescriptible...

Non, là je vais parler de l'un de ces jours qui lorsqu'on y repense quelques années plus tard, vous semblent étrange, bizarre

C'était donc le mercredi 1er Septembre 1999. J'avais planté ma maîtrise d'informatique deux mois plus tôt et avais passé une partie de l'été en cité U afin de réviser pour la session de septembre. Ce jour là, devait commencer en début d'après midi les premières épreuves.

Il devait être huit ou neuf heure du matin, dans la salle réseau de l'association de l'université dedié a l'accès internet pour tous. Je regardais mes mails, discutait un peu sur notre bbs, explorait tranquilement le web, avec quand même a coté de nombreuses pages manuscrites sur un quelconque cours d'informatique.

Et là, tout s'est deroulé très vite, et en y repensant quelques années plus tard, je ne sais pas vraiment pourquoi. j'ai donc ouvert mon cv pour le mettre en forme, effectué une petite recherche rapide sur un truc du genre recrutement + informatique + marseille et recuperé cinq adresses de societés Marseillaises. Puis j'ai imprimé quelques cv, les ais embarqués avec les adresses dans une pochette et ais sauté dans le premier bus en direction du centre ville.

Il devais être onze heures lorsque j'ai sonné a la porte de la première entreprise de ma courte liste en demandant a voir un agent recruteur.

A onze heures trentes, j'avais un contrat de travail, débutant officiellement le jour même et je commençait le lendemain....

A midi, je me trouvait de retour a la fac, et j'ai trainé un bon moment a la cafét, a discuter, jouer au tarot, et autres activité estudiantines, sans vraiment réaliser que c'en était définitivement terminé.

Il y as toutefois un revers a ce jour de chance: je n'ais pas terminé ma maîtrise. Et cela, je le regrette vraiment. Mon parcours professionnel s'étant deroulé sans soucis depuis, ce regret reste quand même relatif, mais non moins présent.

Quoi qu'il en soit, l'impulsion qui m'a fait prendre cette décision insensée reste mystérieuse pour moi. La combinaison de circonstances ayant permis ce dénouement est également assez troublante, car la première entreprise que j'ai choisit s'est trouvé être dans une situation a la fois précaire, et instable, avec un réel besoin, avec une structure réduite a sa plus simple expression (un directeur et sa secrétaire), un panel de client réel et somme toute encore conséquent (plusieurs centaines de vidéo-clubs, une cinquantaine de salon de coiffures, et une dizaines de cabinet d'esthétiques); tous ces clients ayant naturellement besoin de voir évoluer leur logiciel. le budget de la societé ne lui permettait plus de lancer des investissement, entre autre pour le recrutement. Et enfin, le directeur approchant de la retraite a accepté de tenter l'expérience en me donnant ma chance. A part ça, le webmaster n'existant plus, le site de la societé n'avais pas été mis a jour depuis une bonne année, les info que j'avais récoltés étaient donc largement perimés.

Voilà donc pour mon jour de chance. Ce que j'en retient vraiment, c'est que parfois, il suffit. Peut être les choses sont elles en fait aussi simple que ça.

21 septembre 2006

Extension

Sans m'étendre d'avantage sur l'envie de remonter sur paris qui forcément croit avec la réduction du nombre de jours (plus que 9). En fait, c'est pire que ça et la fin de mon séjour Niçoit est d'hors et déjà complètement pourris et sans espoir d'amélioration. Je n'en parlerais cependant pas plus sur ce blog, reservant ce genre d'information autour d'un verre.

18 septembre 2006

Orage d'automne

Et voilà, heureusement qu'il ne me reste moins de quinzes jours.. Nice m'a encore rappelé ce matin qu'il s'agit d'une ville de merde. Et pas seulement a cause des milliers de mouettes qui s'y trouvent. La bande du rond point est cependant un peu plus soft que celle du parking... ils se sont contenté de me percer un pneu et de se barrer avec l'un de mes rétro.

14 septembre 2006

Nuit

"Attend le matin
Et verse trois larmes en vain
Car c'est pour demain"


Une fois de plus, le sommeil me fuis. En même temps, des rêves tournoient autour de moi, certain se réaliserons, d'autres ne le pourrons pas, d'autres encores sont suspendus a des hasard improbables mais auquels s'attachent de déchirants espoirs. La question n'est plus de savoir ce que je souhaite ou ce que je voudrais faire car des projets, idées et autres rêves sont là; non, la question est de rassembler le mélange de volonté, de matérialité et le soupçons de chance nécessaire.

Sinon, cette ville devient pesante, l'approche de multiples échéances importantes augmente encore le poid des heures qui passent l'une après l'autre. Echéance de mon départ pour Paris, échéance de mon prochain anniversaire que je passerais loin de tout, échéance incertaines de vacances ultérieures prometteuses, échéance de divers projets irréalisable tant que je suis ici et qui risquent d'être retardés lorsque je serais là bas.

Bref, l'état d'esprit n'est pas terrible, la motivation est en pause et je craque.

L'un de mes projets aura pour nom Mythes.


11 septembre 2006

Milles regrets

"Après son envol
Un migrateur n'a de choix
Qu'un autre ailleur"


Il est de ces regrets que l'on constate parfois, et qui vous font soudain relativiser bien des désagrément de la vie courante. C'est ainsi qu'en rentrand par ici, je me suis dit qu'oublier sa valise sur le quai d'une gare, ça doit générer pas mal de regrets. Sans même aller jusqu'a imaginer que les clef de sa maison se trouvaient dans cette valise.

Histoire de faire bref, ça ne m'est pas arrivé. Mon voyage de retour s'est bien passé, et pour une fois, il fût presque trop court, étant donné que je n'ais pas eu le temps de finir le bouquin que j'avais acheté en partant.

Mais une personne dans ce train a su générer une certaine quantitée de regrets. Dans le mauvais train, sans ses bagages, et avec par dessus cela une histoire qui aurais pu être tragique. Qui l'a surement été d'ailleur pendant au moins quelques heures.

Bref, inutile d'entrer dans les détails, mais au moins, le personnel de cette compagnie de transport ferroviaire, a quand même accomplis quelques petites choses formidables; qui permettent elles aussi de relativiser en se disant que tout ne marche pas si mal que ça.

Parcequ'il se trouve que cette personne est non seulement arrivé a sa ville de destination a peu près dans les temps, mais avec ses valises... et avec ses enfants qui étaient restés auprès des valises.

Les regrets n'ont du durer que le temps de ce voyage.
Pour les remord, je ne me prononcerais pas.

08 septembre 2006

Temps personnel

"Parfois un canard
Reflet sur un nénuphare
Un canard parfois"


L'explication est en fait simple, chacun doit disposer de son espace de temps personnel qui n'a aucune raison de s'écouler de la même manière que celui de son voisin. Ce doit être pour ça que certains évènements servent a synchroniser les temps individuels lorsqu'une interaction est nécessaire. Et ce sont généralement des évènements marquant une rupture entre deux états.

Ce n'est donc pas un hasard si a l'instant exact ou je posait ma tête sur mon oreiller, afin de commencer a chercher un sommeil récalcitrant, que le téléphone de service s'est mis a sonner. En tout cas, la simultanéité fût assez bluffante.

On retrouve courrament le même genre de rupture lorsque l'on vient de se servir un café, que l'on vient de fermer a clef la porte d'entrée ou que l'on achève a peine de beurrer une tartine.

07 septembre 2006

Non sommeil

"Une heure après l'autre
Passe le temps des automnes
Une heure puis une autre"


3h du mat par une chaude nuit de Septembre. Le sommeil s'est pointé deux petites heures puis est repartit sans prévenir. Je pensait que le réveil allait sonner d'ici une poignée de minutes comme d'habitude... mais en fait non. Il fait vraiment nuit, comme d'habitude, l'avenue la plus proche est presque chez moi tellement l'appart est mal isolé, et en prime je suis un peu malade, ce qui rend le sommeil impossible.


Résultat, je passe le temps comme je peut. Un chouillat d'internet, mais ya vraiment personne a cette heure. Un page sur un blog, mais ça va pas prendre deux heures non plus. Un coup de téléphone, mais le nombre de personnes appellable décement a trois heure du mat est pas franchement extensible. Quand a tourner et retourner a la recherche du sommeil perdu, ça va cinq minutes, mais ça lasse. Je ferrais bien également un peu de musique, mais là, je crains de voir mes voicin engager un tueur a gage si je commence a jouer du Saxo assis sur le rebord de ma fenêtre au milieu de la nuit. Il faudra donc que je teste ce cliché quelque part a la campagne un jour ou l'autre.

Reste les cartons pour préparer mon retour sur Paris. C'est prévus pour la fin du mois, la fin de cette parenthèse d'été Niçois. Je ferrais peut être un bilan une fois remonté, mais ça s'annonce déjà bizarrement. Un travail trop présent et qui déborde, une vie sociale sur Nice qui aproxime vachement bien le néant, des week ends a localisation aléatoire mais jamais a Nice, une foultitudes de résolutions dans au moins la moitié ne survivront pas au voyage de retour. A suivre donc.

Et ce week end, pour continuer dans les localisations aléatoires mais néanmoins prévisibles, je serais a Paris.

21 août 2006

Charlie

"Une ombre en été
Rafraichis le voyageur
L'ombre de l'été"


Il y as désormais une plante verte sur mon bureau. Un peu de verdure et une touche de nature dans cet environnement climatisé, decoré façon désert electronique, qui est mon lieu de travail quotidien. Appelons donc cette plante verte "Charlie", parcequ'après tout, il lui faut bien un nom, et il parais que ce Cactus, en plus de n'avoir besoin que d'un verre d'eau par semaine, fait des fleurs en automne. Je posterais sans doute une photo a ce moment là.

En tout cas, on verra quelle influence peut avoir la musique sur les plantes, j'écoute courrament du hard rock.

Edit du 30 Août: La Photo



14 août 2006

Une ombre a Lyon

"Ombre jetée sur Lyon
Depuis le ciel d'une ville
Ainsi dans la ville"


Il faudrait un nom, afin de conserver la trame de ce superbe week-end lyonnais; en attendans que les autres participants trouvent mieux, je proposerais un modeste 'Chez Tyty' ce qui donnerais 'la CT du 15 août'. Bref, une suprebe rencontre chez Tyty, avec la dream-team Nançoise désormais parisienne, la fourmie Toulousaine, un nouveau johnson Lyonnais et notre chaton national. D'autres les ont peut être rejoint ce Lundi, pour ma part, c'est a contrecoeur que je les ais abandonné hier afin de devoir reprendre le travail aujourd'hui.

bref, merci Tyty d'avoir hébergé une bande de runner dans ton gigantissime appartement avec une super terasse et au dernier étage en face de la ville que ça donne l'impression d'être dans le bureau d'un pdg de mégacorp au dernier étage d'un building corporatiste. Vraiment classe.

Dans les regrets supplémentaire, ne pas avoir joué le scénario de light arrive bien placé, les quelques mots a la base de son concept étaient prometteurs.

31 juillet 2006

Retour sur Nice

"Batisseur de pont
D'un rivage vers l'horizon
Trop court, et pourtant"


De retour sur Nice; Je ne m'en était pas éloignée beaucoup, a peine un week end, juste sur Marseille. Quelques cartons, pour aider Al a effectuer un bout de sa transhumance rituelle, puis un peu de route sous un soleil de plomb, au demeurant charmant sur les petites routes de Provence aux alentours de Marseille, mais néanmoins fort présent. Une après midi et une soirée jeux de rôle avec des amis s'en sont suivis; tout ça sous fond de cigales, et en cette saisons, elles sont fort présentes lesdites cigales. Peu après le lever du jour, après un peu de papotage intercontinentale avec l'autre bout du monde, un dimanche particulièrement tranquille s'est ecoulé avant que je ne reprenne la route sous un soleil couchant.

Je passerais sous silence la présence d'une légère ligne de perturbation due au fait que pour la semaine, je suis d'astreinte pour le boulot... et que donc le téléphone etait susceptible de sonner a tout instant pour m'arracher a la quiétude de la fin de semaine. A y réfléchir, c'est en fait assez désagréable car il deviens impossible de complètement décrocher du boulot.

Voilà pour reprendre avec la publication sur ce Blog, prochainement peut être, je complèterais la longue période blanche depuis le dernier message. C'est quand même beau la chronologie décalée. Donc si vous voyez apparaitre des messages entre le 30 Mai et le 30 Juillet, c'est qu'ils ont été publié en Aout...

25 juin 2006

Reflexion Neuropsychologique

"Valeur du printemps
Une abeille va butiner
Sans chercher plus loin"


Une idée reflexives a l'origine destinée a faire passer un peu de temps pendant un retour sur Nice m'a conduit sur des réflexions d'ordre neuropsychologiques sur la génération des actions et tout ces phénomènes micro-addictifs qui nous font agir au quotidien alors que nous ne le souhaitons pas forcément.

Tout est partit d'un paquet de friandise bien connus et diversement colorés achetés a la dernière
seconde avant de sauter dans le train. L'objectif étant d'avoir quelque chose a grignoter pendant le long voyage.

Pour fixer les choses, environs 100 grammes, et au maximum une quarantaine de cahouètes enrobées de chocolat. Bref, une fois installé, je me suis dit que humainement, ce paquet serais ncessairement terminé avant que la moitié du voyage ne soit ecoulée.

J'ai donc ouvert le paquet, bien installé dans le sige (heureusement dans le sens de la marche, avec personne devant moi, ça en devient presque confortable, avec de l'espace pour déplier les jambes); et le voyage a commencé. Je prend un premier truc bleu dans le paquet. Je le savoure (pas longtemps, c'est minuscule comme truc), le termine, et mécaniquement, je commence a tendre la main pour en recupérer un deuxième. Le geste est vite stoppé lorsque ma conscience ralise que ce n'est pas elle qui as initié cette action.

Tout par donc de là. La question est donc, pourquoi ais je entamé cette action. Les réponses possibles sont multiples et probablement toutes plus ou moins vrai: conditionnement, habitude, addiction, action inconsciente, action consciente non mémorisée, etc. Plus mécaniquement, je dirais qu'un motif d'entrée a été activé et a declenché un motif de sortie. Le motif d'entrée est complexe car intégrant de nombreuses choses mais peut se résumer conceptuellement a la perception d'un élément, la conceptualisation de ce qu'il est, le souvenir d'un condensé des perceptions précédentes du meme concept (ou d'un concept proche). J'aurais tendance a dire que la présence du souvenir entre en résonance avec la perception (légèrement avec juste la vue, de manière plus importante lorsque s'ajoute le toucher, et de manire critique lorsque entre en jeux le gout et la texture, et de manire subtile selon les réactions physiologiques declenchées par l'apport de sucre et autres nutriments). Le souvenir va alors servir de point de départ a un schémas d'action.

Le schémas d'action serait lui composé d'un objectif a remplir, d'une perception de l'environnement "de travail", et de la ralisation de l'action proprement dite. L'objectif a remplir étant une représentation mentale des perceptions devant résulter (ici, une copie du souvenir déclencheur).

C'est a ce moment que les choses se complexifient. Dans le sens ou la ralisation de l'action va générer de nouvelles entrée sensorielles qui vont s'intégrer dans divers schémas (a priori extrèmement nombreux) faisant référence a tout ce qui a un vague rapport avec ce qui se passe (mais de manire globale, le défilement du paysage par exemple va rappeller divers schémas de souvenir, la sonnerie d'un portable va commencer a remplir un schémas d'agacement, une tension dans les épaules commencer un autre schmas d'inconfort qui a terme conduira a un changement de position). Et un mouvement imprévus de l'épaule et du bras s'intègre dans un
schémas interrogatif qui en faisant résonner le souvenir d'une intention, va conduire a un schémas d'action consistant a arrêter le mouvement en cours.

J'ai ensuite passé un petit moment a détailler les deux ou trois schémas impliqués. Activit intéressante s'il en est permettant de mieux comprendre comment se passent les choses au niveau mécanique (quels élments sont reconnus, quels sont les critères de taille, couleur, projection gustative, etc... quels autres schémas peuvent etres impliqués).

Quand a la suite, il s'est agit de voir comment remplir l'objectif initial, a savoir faire durer ces quelques 100 grammes de substances chocolaté avec de la cahouète, pendant un voyage de 5 heures... sachant que la présence desdites substances et pire, leur ingestion, provoque un schémas assez fort faisant diminuer rapidement le stock. Je me suis dit qu'existait une réponse psychologique de haut niveau: faire un effort de volontée. Ce qui conduit a se demander ce qu'est concrètement un effort de volontée dans ce contexte de schémas perceptifs engendrant des schémas d'action. La réponse me semble multiple.

Ce peut etre la création d'un schémas déclenché par le début de l'action a neutraliser et dont l'action est de bloquer l'action a neutraliser. Cela peut etre une tentative de modification du schémas initiant l'action a neutraliser afin d'ajouter un facteur de déclenchement. Cela peut etre une tentative de modification du scéhmas d'action pour par exemple lors de la prise
en compte de l'environnement, déclencher un comptage approximatif du nombre d'unitée, ce qui va declencher un schémas de reflexion par rapport au temps du trajet pour laisser l'action se dérouler ou non.

Voici a mon sens les méthodes traditionnelles employés instinctivement. La connaissance du schémas perceptif permet cependant d'envisager d'autres approches. Par exemple, le goût ayant une influence assez forte, qui fait fortement résonner la représentation mémorielle. Ainsi, mettre en place un schémas supplémentaire déclenchant l'absorption d'un peu d'eau juste après, permet de considérablement altérer le seuil de déclenchement de l'action. La modification du schmas de consommation pour augmenter la durée, permet galement d'influer sur la persistance de l'impression mémoire et altère le temps qu'elle met a s'estomper (favorisant par la meme le
renouvellement de l'action). L'ajout d'un schmas de sélection permet galement de laisser plus d'opportunitées à des schémas de reflexions afin de bloquer l'action.

En tout cas l'étude des mécanismes de la volonté sont passionnants et méritent qu'on s'y intresse.

Il est a noter également que d'autres schémas existent de manière plus ou moins inconsciente. Par exemple, l'augmentation du taux de chocolat ou de sucre, va induire des modifications physiologique (le foie va par exemple travailler et produire diverses substannces) Ces modifications physiologiques vont de manire assez subtiles servir d'entrées sensorielles pour le cerveau, et ainsi etre associées a la mémoire des actions ralisées. Cette association est cependant très difficile a quantifier (except lors d'excès manifeste conduisant a des réactions plus intense, crise de foie, malaises corporels, ivresse, bien être particulier). Ainsi, un besoin physiologique subtil peut parfaitement favoriser considérablement le déclenchement de l'action lui étant nécessaire. Les besoins et envies soudaines sont donc souvent au moins a considérer avec attention, même si la part des choses entre le physiologique et le psychologique est parfois difficile a faire. On as donc tous, à mon avis, un sixième sens qui est de nature purement interne et parfaitement chimique. Il est de plus particulirement difficile a percevoir.

Ainsi, pour conclure sur une modélisation conceptuelle pouvant peut etre servir lors de la conception d'une intelligence artificielle, on devrait avoir divers schémas parrallèles remplis progressivement par les entre sensorielles, et servent eux memes de nouvelles entres permettant de remplir d'autres schémas. Ces schémas doivent etre vu dans le temps comme étant persistant, asynchrones et a remplissement progressif (ils peuvent aussi se vider). Et lié a des schémas d'action déclenché lorsque certains seuils de remplissage sont atteint, et fonctionnant de la même manière (c'est a dire persistant, asynchrones, progressifs et servant
d'entres sensorielles). Avec bien sur des notions de priorités variables au cours du temps.

Pour inutile ou pas qu'ais été cette reflexion, le paquet a tenu tous le voyage, j'ai mangé le dernier a l'instant ou le train s'est arrêté a la gare de Nice.

PS du 30 AOût: Ajout d'une photo


01 juin 2006

sans titre

"Un vent de prairie
Qui souffle et attise les braises
Conduit a demain"

29 mai 2006

Quelques news

Après un long silence, quelques news en provenance du sud...

J'ai donc démisionné il y as maintenant quelques mois. Tout s'est passé a peu près bien. Démissionner procure toujours cette sensation de libération. Les délais se sont organisés comme il faut, mon ancienne societé n'a pas trop rechigné sur les documents légaux et monétaires (un peu quand même, une quinzaine de jours mais en comparaison des deux mois de la précédente, c'est rien).

La nouvelle société est basé a Paris, mais pour les six premiers mois, j'ai commencé a bosser dans leur locaux de Nice. Un grand dépaysement donc, en quelques sortes des vacances sur la côte d'azur moyennant un travail journalier. Le climat le fait pas mal, ça va bientôt être l'été...

Le nouveau boulot est intéressant, je retrouve l'esprit PME de mes débuts. Un rien bordélique, un chouillat désorganisé, beaucoup de manque de personnel, mais un travail dans lequel tout est a faire et qui techniquement va m'apporter beaucoup. Coté fonctionnel, c'est on ne peut plus simple, je travaille dans le domaine des sms roses... chat, "personalisation de portables" avec des fond d'écran dénudée, et autres élections de miss.

Quand a la ville de Nice, c'est pas le pérou. La ville est bruyante, en plein travaux (forcément, ils installent un tramway) et encombré de vandales (oui, je me suis fais vandaliser la voiture... 5 coup de poinçon par roue histoire de bien faire). Mais a part ça, la côte d'Azur est là, je revois quelques potes marseillais et ma maman habite pas bien loin. Tout va donc pour le mieux.

Question JdR, faute de joueurs, c'est une pause shadowrun bien qu'il doive y avoir moyen de faire deux ou trois choses sur Aix. par contre je me réintègre dans une campagne Vampire sur Marseille.

Retour prévus sur Paris vers fin Septembre, en attendant, il me reste a sympathiser avec les voisins a coup de saxophone et a trouver un club de plongée histoire de profiter de l'été.

10 mai 2006

Oracle

"Pierre sur le chemin
Regarde pousser la mousse
Là ou elle sera"


Un petit message prophétique prenant paris sur l'avenir. Nous sommes a la fin de janvier, et je parie que le 10 Mai 2006 je serais a Nice.

10 avril 2006

Victoire ?

"Un temps de printemps
Pour un cadeau estival
Fleuris ce qui pousse"


Il semblerais donc que ce contrat honis de tous ais vécus...
Les avis a sont sujet sont désormais sans aucun interêt puisqu'on ne saura jamais ce qu'il aurais donné.

En revanche, il va apparement être remplacé par un truc du genre (je cite Le Monde) "renforcer des contrats aidés par un suivi personnalisé"... bref, des cadeaux fiscaux pour l'embauche de certaines personnes et puisque c'est personalisé, des fonctionnaire derrière pour gérer l'attribution des aides en question.

Voici donc ce qui arrive quand on réclame une abrogation sans rien proposer a la place. Les syndicats sont contents, mais au final, une mesure "gratuite" (dans le sens ou financièrement, elle ne coûte rien) viens d'être remplacé par une mesure "payante" (toujours dans le sens financier) et nécessitant une supervision de l'état (donc des fonctionnaire). Je ne suis pas sur que ce soit une bonne chose tout ça. Parceque quand l'état paye, ça entraine en général deux choses: la première, c'est un alourdissement des prélèvements de toute sorte... la seconde, c'est une tendance caractérisé a l'abus lorsque celui ci est légalement possible.

Voyons donc ce qui va pousser de ces graines là...


05 avril 2006

ça frémit

Juste pour dire que mon site est en train de bouger légèrement. ça casse pas encore des briques, il manque encore du contenus et en plus sous IE, ça passe pas bien, donc utilisez de préférence firefox... mais ça bouge un peu.

04 avril 2006

déjà ?

"Chouette a l'affût,
Aigle perdu dans les cieux,
Et s'il faisait nuit ?"


Presque un mois sans message... mais que le temps passe.
Il n'y as donc pour l'instant que peu de choses nouvelles a dire.

Le début de la parenthèse Niçoise commencera normalement dans 13 jours... en attendant, rien n'est prêt. Les quelques affaires que je compte descendre ne sont pas emballés, l'appart parisien n'est que peu rangé... bref, j'ai plein de choses a faire et de moins en moins de temps pour le faire.

En fait, il est même possible que je n'ais pas le temps du tout; heureusement que c'est un pseudo-déménagement et que je garde l'appart... Sur les 9 soirée dont je dispos encore, 3 sont d'hors et déjà occupées... Et sur les 4 jours complets, 2 sont réservés au mariage d'un ami, et les 2 autres me servirons a faire le trajet Paris-Nice. Il ne me reste donc que 6 soirées, sachant que ce nombre risque de se réduire (au moins de 2 a cause des pôts du vendredi) reste 4... damned, ça va pas passer, je partirais donc a l'arrache.

09 mars 2006

De la viscosité du temps

"C'est une rivière,
Qui d'un pas lourd et pesant
S'écoule a l'envers"


C'est une impression bizarre, celle que le temps était ce matin comme une sorte de gélatine, comme si chaque seconde devait peser pour se frayer un chemin et exister. Chaque mouvement me semblait lent, le trajet habituel pour aller au boulot m'a semblé interminable... et pourtant, je suis arrivé plus tôt que d'habitude, allez comprendre. Peut être mon espace de temps onirique est t'il si différent de celui du "monde réel" qu'il a fallut une bonne matiné pour qu'ils se resynchronisent ?

23 février 2006

Rien de plus

"Le coeur et l'esprit
Chantant cris et mélodies
Sons chargé d'erreur"


Cependant, l'avenir purement matériel se présente plutôt pas mal, c'est déjà ça de pris.

13 février 2006

ça, ça va pas tarder a être fait

"Madame, Monsieur le Directeur,

En application des dispositions de mon contrat de travail du 03 mars 2001 (...), j'ai l'honneur de vous informer ce jour de ma démission de mes fonctions d'ingénieur d'étude confirmé. Comme prévus dans le contrat de travail, j'observerais une période de préavis de trois mois, débutant le 14 février 2006 au matin et se terminant le vendredi 12 mai au soir.

(...)

Vous souhaitant bonne réception de la présente, je vous prie d'agréer, Madame ou Monsieur le Directeur l'expression de ma considération distinguée."

La lettre sera donc remise en main propre ce soir, d'ici moins de deux heures.

* fais un grand pas en avant en se demandant s'il était au bord de la falaise *


10 février 2006

ça, c'est fait.

"Monsieur,

Pour donner suite à notre récente entrevue, nous avons le plaisir de vous confirmer votre engagement au sein de notre entreprise en tant qu'Ingénieur, ce à compter du 1er mai 2006.

Ainsi que nous en sommes convenus, vous occuperez votre poste, à cette date, sur nos locaux de Nice.

(...)"

27 janvier 2006

Spontanéité

"Sur l'étang gelé,
Le reflet d'un nénuphar
Observe un canard"


Je disait précédemment "intense". Et bien ça continue mais de plus en plus rapidement. j'ai donc discuté aujourd'hui avec de nombreuses personnes de mon avenir professionnel. Responsable, manager, ancien manager, divers administratifs, une personne qui restera anonyme et un potentiel futur employeur apparus spontanément.

Bref, ça ressemble toujours a un marathon, mais j'ai désormais quatres voies ouvertes devant moi et toute la difficulté va consister a ralentir et temporiser un peu de manière a voir ce qui se profile sur chacune, puis de faire le bon choix... pas facile tout ça. En tout cas la dernière voie en date m'emmènerais vers un projet professionnel inhabituel, très correctement remuneré, très dense techniquement et ma foi fort intéressant; avec en prime un travail débutant sur Nice pour se poursuivre quelques mois plus tard sur Paris. Affaire a suivre donc, les négociation sont en cours et il faut encore que je passe les entretiens techniques et RH.

24 janvier 2006

Intensitée

"Tache ocre sur vert
Et une fleur de temps éclot
Eclat de matin"


Cette journée fût particulièrement intense, en effet, j'avais aujourd'hui rendez vous pour la suite des entretiens de recrutement. Ce fût donc une journée marathon où j'ai longuement parlé de mon parcours, de mes ambitions, de mes projets. Tout en écoutant ce que cette entreprise pouvais m'offrir, comment elle fonctionnait, ce qu'elle attendait de moi.

Bref, des entretiens extrèmement positifs qui quels que soit leur résultat, auront eu le mérite de faire bouger les choses.

La suite viendra rapidement, le temps semble s'accélérer autour de moi et je pense ne pas être étranger au fait qu'il s'amplifie ainsi.

17 janvier 2006

Qualification

Et voilà, le test technique est terminé, je suis donc qualifié pour les entretients suivants...
résultat mardi prochain, je crains que mon entreprise actuelle ne fasse, d'ici là, pas ce qu'il convient pour me garder. Tant pis pour eux, quand on joue a un jeu, il faut accepter que les autres suivent également les règles.

L'une de mes craintes concernant le temps de transport vient même d'être levé. Je n'ais mis pour rentrer que trois petits quarts d'heures malgrès le fait qu'il pleuve et que ce soit l'heure de pointe.

16 janvier 2006

Exam

Un truc peu banal demain, alors que je travaille depuis déjà plus de six ans, je vais passer un exam . Un petit examen technique d'une boite souhaitant me recruter. Bon, c'est un peu loin de Paris, mais qui sait, les perspectives de carrière y sont ans doute plus intéressantes que dans ma SSII actuelle. Affaire a suivre donc.

13 janvier 2006

Déménagement

"Une salamandre
Paresse auprès d'un étang
Change de maison"


J'ai quelques billets de retard, promis je les met en ligne un peu plus tard...
en attendant, je prépare une migration vers www.bobdeuxfleurs.com ... et oui, j'ai mon nom de domaine désormais, avec un petit hébergement sympa avec. J'aurais donc aussi bientôt une adresse mail en @bobdeuxfleurs.com

15 décembre 2005

Yet, another recette

"Sur fond de provence
Chantent cigales et grillons
Partout mais ici"


Dans un cadre de mémoire collective, et histoire de formaliser les recettes qui marchent, en voici une qui s'apparente a de la bolognaise pour a peu près 7 personnes. Le grand truc bien sur, c'est de laisser mijoter a feu très doux très longtemps.

Ingrédients:
  • deux boites de tomates entières pelées (d'autres formules marchent aussi, mais celle ci est pratique et pas chère)
  • 350 gr de viande hachée
  • une tête d'échalotte
  • deux têtes d'ail
  • un petit bouquet d'épices composés de:
    • Gingembre
    • Herbes de provences
    • Piment d'espelette
    • Noix de muscade en poudre
    • Poivre
  • et un bouquet d'herbes de provence
    • Herbes de provences
    • Thym
    • Laurier
    • etc.

Opération 1: les tomates.
Dans une grande poelle, on fait revenir ail et échalotte (ou oignon) dans un généreux fond d'huile d'olive. Puis on ajoute les tomate et le bouquet d'herbes de provence. Le feu doit être vif au début (pour bien faire revenir), puis ramené a doux quelques minutes après l'ajout des tomates. Le temps de cuisson va varier de 30 minutes (ça me semble un minimum) a plusieurs heures.

Opération 2: la viande.
Dans une autre poelle, on fait revenir ail et échalotte (ou oignon) dans un autre généreux fond d'huile d'olive. Le feu est donc vif... On ajoute la viande haché que l'on soupoudre généreusement avec le bouquet d'épice pendant la cuisson. Il ne faut pas oublier de remuer régulièrement. Une fois que la viande est cuite (en gros en trois ou quatres minutes), on passe a l'étape 3

Opération 3: facile.
Il suffit de verser la viande dans les tomates, et laisser mijoter en couvrant. Ne pas oublier de mélanger et de remuer de temps a autre (a défaut d'être utile, ça fait très style de remuer quelque chose en train de mijoter)

Opération 4: accompagner.
Pendant que ça mijote, on peut faire autre chose, en particulier préparer de quoi aller sous la bolognaise. Classiquement, des pates, mais du riz, ou du riz et des haricots verts, ça le fait aussi.

Et surtout ne pas oublier de bien présenter le truc une fois finis. Car d'expérience, au moins 20% du goût dépend de la présentation.

10 décembre 2005

Autre Recette

"Nuage sous le vent
Il Prend formes et couleurs
Mais c'est un nuage"


Pour changer, faire original, voire fournir un peu d'inspiration si jamais des étudiants lisent ce blog et veulent changer un peu des traditionelles pâtes carbo... voici l'une des quelques recettes dont je dispose... prête en 20 minutes.

Etape 1: le riz, en version Pilaf...
c'est en fait super pratique, il n'y as pas besoin de passoire.
La recette est simple:
  • Vous prenez une poelle;
  • dedans, vous versez un fond d'huile d'olive (une autre fait l'affaire aussi, mais j'aime bien l'huile d'olive)
  • sur ce fond d'huile, vous versez généreusement le riz, tout en remuant un peu pour qu'il s'imbibe bien d'huile.
  • Puis vous mettez de l'eau a chauffer dans une bouilloire électrique (si, tout étudiant a une bouilloire électrique quelque part, c'est trop pratique).
  • En allumant la bouilloire, il faut aussi allumer le feu sous la poelle, en le mettant assez vif. L'opération suivante est périlleuse parceque demandant une certaine attention.
  • Pendant que l'eau chauffe, il faut remuer le riz et surtout le surveiller attentivement. La température s'élevant, il va commencer a blondir, brunir, changer de couleur, crépiter un peu dans l'huile, puis un peu plus, puis davantage... Donc attention a ne pas le faire brûler.
  • Lorsque le riz est a point donc, il faut verser un petit litre d'eau bouillante (oui, celle de la bouilloire).
  • Pour le riz c'est presque finis, il suffit de jetter dans l'eau diverses substances:
    • Du sel
    • Une bonne dose de Canelle
    • du poivre
    • en option, du piment d'espelette en poudre
    • une bonne dose de Curry (peut remplacer complètement la canelle, ou inversement)
  • Pour le riz, c'est finis, on laisse sur le feu vif jusqu'a ce que toute l'eau se soit évaporé (attention toutefois sur la fin, il faut un peu remuer pour eviter que les grains de riz au fond ne brulent...). Bref quand c'est presque sec, c'est cuit et directement prêt a servir.


Etape 2: Lardon et Knackis
Un classique éstudiantin, pas cher et facile a cuisiner
  • Avant de commencer, couper le knackis en rondelles, c'est 20 secondes chrono.
  • Puis une poelle avec un fond d'huile d'olive (on pense souvent qu'avec les lardons c'est pas la peine, mais c'est bon l'huile d'olive)
  • Dans ce fond d'huile, un truc qui le fait, c'est un fond d'herbes de provences.
  • Vous allumez a feu vif, attendez un peu que ça frétille
  • En attendant que ça frétille justement, il est temps de préparer un petit mélange d'épices pour soupoudrer sur ce que vous mettrez dans la poelle
    • Un tier d'herbes de provence (oui, encore, mais c'est bon aussi)
    • Un tiers de gingembre
    • Un tiers de canelle (ou de curry, ça le fait aussi)
    • un peu de noix de muscade en poudre
    • du poivre
    • du piment d'espelette en poudre
  • Quand ça frétille dans la poelle, il faut ajouter les lardons et les rondelles de knackis. Puis laisser cuire en remuant un peu de temps en temps.
  • Un fois que c'est presque bon, reste a faire fondre une rondelle de crème de roquefort
  • Puis ajouter de la crème fraiche
  • Penser a baisser le feu pour qu'il soit doux....
  • Bien mélanger la crème, et attendre qu'elle réduise un peu
  • Normalement, le riz est prêt a peu près en même temps..


Etape 3: Ya plus qu'a servir.
La, pas de recette, juste un détail mineur oublié souvent par les étudiants: quand c'est bien presenté, c'est tout de suite meilleur... Aller savoir pourquoi.

Voilà, et bon appétit

06 décembre 2005

Recette

"Saveurs du printemps
C'est un mélange des saisons
D'été où d'automne"


Comme promis, voici la composition du mélange epicé d'hier soir:
  • Un bon tiers d'herbes de provences
  • Un petit tiers de Curry
  • Une pincée de poivre
  • Une autre un peu plus importante de piment de Cayenne
  • Un saupoudrage de noix de muscade en poudre
  • Enfin un chouillat d'ail seché.
Le tout dans un petit récipient qu'il convient d'agiter un peu pour mélanger le tout.
Utilisé pour soupoudrer généreusement de la viande blanche lors de sa cuisson dans un fond d'huile d'olive. Il suffit ensuite une fois la viande cuite, de réduire le feu pour qu'il soit très doux, puis de faire fondre un peu de crème de roquefort, d'ajouter une bonne quantitée de crème fraiche et enfin de mélanger le tout tout en attendant que la crème se réchauffe et réduise un peu.

C'est a servir avec un riz classique parfumé au Curry. Un vin blanc en accompagnement le fait très bien également.

23 novembre 2005

Nouveau design

"Nénuphar mauve
vert ou jaune couleur lilas
Inspire ou inspire"


Hier soir, en parcourant diverses photos, je suis tombé sur une image prise un matin dans un train partant de Marseille pour me ramener a Paris. Un quai désert, une ville calme se réveillant a peine. Je ne me souvient plus de la date exacte, mais l'impression donné par ce trajet, a là fois départ et retour, est resté intacte. C'était une sorte de serenitée tranquille, un peu irréelle, ou l'on as l'impression d'être en un instant hors du temps. A mi chemin entre là où l'on est et l'endroit ou l'on va. Déjà en route, mais pas encore partit, déjà arrivé mais juste un peu plus tard.

Une fois assis dans le train, enveloppé par la fatigue du matin dans un grand compartiment quasiment vide, le regard erre par la fenêtre. Ne se raccrochant a rien, mais s'imprégnant de l'endroit familier que l'on quitte.

C'est alors que l'esprit vagabonde, erre sur ce paysage qui va bientôt méler le changeant et l'immobile pourtant si rapide.

Bref je me suis surpris a me dire que cet état d'esprit ou l'on se retrouve entre parenthèse hors du temps, était propice a la lecture ou a la rédaction d'une histoire, d'un journal, voire d'un blog... j'ai donc passé la soirée a transformer mon blog pour le faire rentrer dans cette fenêtre.

n'hesitez pas a me dire ce que vous en pensez.

22 novembre 2005

Essai

"Rayon de soleil
Dans un chemin sous les bois
Joue avec l'ombre"


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Sous un ciel de plomb, d'épais pinceau de lumière baignaient le site de fouilles archéologiques. Perdu au milieu d'une forêt nouvelle, au pied de contrefort rocheux sur l'ancien continent, il fût découvert presque par hasard. Certain diront peut être, un jour, par erreur...

Cela ressemblait a un tombeau, dans la forme en tumulus, la matière rocheuse pourtant construite, dans l'ambiance solennelle qui s'en dégageait. Cette solide petite structure semblait avoir été batie pour survivre a l'eternité. Une étroite entrée scellée, un texte gravé dans la pierre au sens indéchiffrable car écrit dans une langue depuis longtemps perdue, une architecture de pierre étrangère a cette région, c'est cela que contemplâ Wolfgang lorsque ses étudiants eurent enfin degagé la majeure partie de ce vestige du passé.

Aucune fenêtre, aucun orifice, et le sceau semblait hermétique, offrant la promesse d'un vestige prodigue.

Pour la dernière phase, le professeur était resté seul avec deux étudiants. Le soleil déclinait et menaçait de se coucher derrière un épais plafond nuageux alors qu'ils entreprenaient de desceller la lourde pierre servant de porte éternelle.

Un dernier rayon vint balayer les écrits gravés, un dernier souffle bruissa dans les sous bois alentours, et quelques gouttes annonciatrice de l'orage imminent tombèrent alors que cédait enfin la porte.

Un air chargé du poid des âges, extrèmement sec, au goût minéral prononcé s'échappa alors dans un bref sifflement couvert par un coup de tonerre encore lointain.

Ce n'est que plusieurs heures plus tard, au coeur de la nuit, sous un orage battant, que la porte fût complètement degagée. L'entrée était enfin libre. Les ténèbres a l'intérieur étaient insondables et les puissants projecteurs installés sur le site peinaient déjà a illuminer la scène sous la pluie dense de la tourmente ambiante.

Wolfgang entra le premier. Il réalisa alors que son premier jugement était erroné...

[En un lieu indeterminé, le 16 Mai 2056] <<<<<

21 novembre 2005

Le coup du domino

"Moineau dans un champ
Il erre, volette a loisir
Mais pourquoi erre t'il ?"


Une nouvelle d'actualité qui m'a fait me poser des questions... bon au final, on retombe sur la célèbre question métaphysique: "quel est le sens de la vie ?" et donc je ne donnerais probablement pas ma réponse ici ;)

L'actualité donc: le record du monde de tombée de domino a été battus...
Bon ils étaient 90 pour les poser et ça leur a pris 8 semaines. Si une personne seule l'avais fait, il lui aurais fallut la bagatelle de presque quatorze ans pour les mettre en place. Quatorze ans pour une chute ayant duré a peu près une heure. En comptant un minimum de vacances, un peu de vie sociale, deux ou trois activités annexes histoire de décompresser un peu et en comptant que le record ais doublé (soit plus de 8 millions de domino), on pourrais imaginer qu'un jour quelqu'un passe sa vie entière a poser des domino pour un jour les voir tous tomber en quelques heures.

Ramené au travail d'équipe, ça devient tout de suite plus "raisonnable", a peine deux mois pour deux cents personnes. Il n'empêche que même a deux cents, ça reste le travail d'une vie pour une seule personne. Certain diraient peut être que "c'est pas banal" ;) et j'aurais tendance a être d'accord. Sauf qu'en fait si c'est peut être banal, et au lieu de demander "pourquoi poser ces domino ?" ce qui immancablement ramène au sens de la vie... je demanderais plutôt: quelle différence entre passer sa vie a poser des dominos et faire autre chose ? (une vie de peintre, une autre de sculpteur, une troisième d'acteur, une dernière de jardinier, etc.). Et là blam, on risque de retomber sur le sens de la vie :D. Pour répondre quand même, je dirais qu'il n'y as pas de grande différences entre ces vie. Enfin si, d'énorme bien sur, parceque chaque vie est différente, mais fondamentalement, en fait peut ête pas. Bref, de quoi rester quelques minutes méditatif devant quelques millions de dominos en train de tomber.

De manière plus médiatique, il y as quand même eu un couac dans l'histoire, du genre qui pose d'autres questions philosophiques, et d'autres d'ordre plus pragmatique. Le couac en question étant un moineau ayant eu l'impudence de s'infiltrer dans le hangar aux dominos. Plus précisément, il fait choir quelques 23 000 dominos, menaçant d'anéantir somme toute une vie de travail (en plus d'un record, et plein d'autres choses vu la couverture médiatique). Il fût donc occis !

j'ai lu quelque part que près de 200 000 personnes se sont publiquement indigné de la chose.

La reflexion du jour est donc qu'il me semble bien qu'autant de personnes pensent que la vie d'un moineau a plus de valeur qu'un record de tombée de domino.

D'un autre coté, ce record, il équivalait peut être à la vie d'une autre personne (virtuelle, puisqu'ils étaient 90 et que ça ne leur as pris que 2 mois; mais quand même, en projetant un peu dans l'avenir et en ramenant ça a une personne... ça fait la vie d'une personne) ? Enfin pas tout a fait, il n'équivaut qu'au résultat de la vie d'une personne, là est sans doute la différence. Faut t'il en déduire que le résultat de la vie d'une personne a moins de valeur que la vie d'un moineau ? Il me faudrait trouver un sage maître zen pour lui poser la question tient.

Quoi qu'il en soit, répondre a la question permet de faire le point sur ses propres valeurs morales. Cela permet aussi de regarder les valeurs de la societée dans laquelle nous vivons. Avec donc les deux réponses qui coexistent: les partisant du record qui pensent a priori que non, ceux du moineau qui pensent que oui, beaucoup qui continuent a se poser la question parceque mine de rien, même si j'ai ma réponse, je trouve la question difficile. Peut être parcequ'elle ramène encore une fois au sens de la vie.

Voilà donc: "Une réponse et une incertitude certaine sur le fait que ce soit la bonne" telle est pour l'instant ma réponse a la question "quel est le sens de la vie ?".

14 novembre 2005

Week end Nançois

"Un chat qui regarde
Un bibelot immobile
Contemple les gens"


Encore un message achronologique...

Ce week end donc, fût un week end Nançois. Départ de Paris en plein coeur de la nuit vendredi (vers 3h30), avec le défis d'arriver près de Nancy a l'aube avec une brouette de croissants, et ce avant une autre équipe venant de Lyon.

La course ne fût donc pas facile a gagner, mon humble véhicule peinant quand même un peu a transporter ses cinq passagers ainsi que leur bagages. je crois qu'ils ont crus a une ou deux reprise qu'ils allaient devoir descendre au milieu d'une côte pour pousser :D Cela dit, la route vers Nancy, de nuit, est assez agréable malgrès quelques coups de fatigue vite reglé a coup de café surdosé et non sucré.

Paris gagné donc, on est arrivé avant l'équipe lyonnaise.

Pour la suite, un très bon week end, plein de gens sympathiques, des jeux a foison, des repas equilibrés, et même du sommeil la nuit (quelle honte pour des rôlliste quand même ^^).

Histoire de resumer simplement, ce fût un super week end, un grand merci à Light et Teknicolor de nous avoir hébergés. On (enfin au moins moi, je vais pas m'engager pour les autres même si je pense que ça ne fais pas de doute) reviendra avec grand plaisir.

Quand au retour, départ proche de Nancy dimanche soir, une route calme et degagée (même une fois a Paris), et de sympathiques et dynamiques passagers qui ont eu sur le chemin une foultitude d'idées pour les semaines a venir.

Bref, super week end, mais je me répète là ;)

09 novembre 2005

Linea jucundus eris

"Vol d'étourneau vifs
Ecrivent de nouvelles lignes
Un nuage souffle"



Edit: Mon latin etait un peu rouillé (il l'est encore beaucoup en fait), le titre est maintenant plus conforme a ce que je voulais dire.

06 octobre 2005

trois petits points

"Un rêve egaré
Par ici, pourtant par là
Il suit le chemin"


Aller, faisont un peu bouger ce blog.
rhaa, décidément pas, je manque d'inspiration.
Mais je complèterais quand même cet espace de temps sans histoire parcequ'il s'est quand même passé deux où trois petits évènements...

Ha si quand même, pour ce que ça vaut, j'ai mal dormis en rêvant que je cherchait a m'endormir... et pendant ce temps, j'ai fait un rêve qui m'a dit une chose désagréable. C'est déconcertant quand votre inconscient vous dit quelque chose mais qu'il le fait sans détour. Que la symbolique n'est apparement pas respecté puisqu'il n'y as pas de symbole. Où alors c'est que le message lui même est le symbole. Mais alors ça voudrait dire que l'inconscient n'a rien a dire et donc il le dit. Ce qui fait que c'est clair. Mais du coup, le sens de tout ça est qu'il n'y as pas de sens. Je ne suis pas sur d'être clair.

28 septembre 2005

Instant

"Hirondelle d'été
Que fais tu en automne ?
Voyage vers l'été"

En fait il n'y as presque rien a dire, ni a écrire. Pourtant presque rien, même si on peut considérer que c'est rien, il reste le presque; et c'est là que ça devient interessant. Parceque presque rien, c'est a coup sur quelque chose n'ayant que peu d'importance, pas où peu de répercussions, que l'on ne remarque pas, ou si peu... Un détail infime voulant dire exactement ce qu'il est, a savoir pas grand chose. Bref c'est un souffle, un bruissement, une goutte d'eau qui tombe, une feuille morte qui volètte doucement, ou une brève et infime étincelle...

Et là on risque de sortir du presque rien, ce sera donc l'objet d'un autre message... Ou pas parcequ'après tout, c'est réellement presque rien, ce qui en découlera pourra donc être a loisir tout où rien.

27 septembre 2005

Poésie expérimentale

"Saison sur un lac
Le temps y passe où revient
Reflet d'une horloge"


C'est en temps decalé que j'écrit ce message, un million de secondes plus tard (en fait un peu plus mais le million est toujours un seuil amusant a écrire). Donc aujourd'hui, c'était mon anniversaire. ça y est, le cap de la trentaine est dépassé, je ne suis plus dans la tranche de 25-30.

Niveau réjouissance, une petite soirée sympa au BdA avec plein de gens sympathiques a qui j'adresse un grand merci. Un imprévus réellement improvisé sous la forme d'un artiste expérimental qui nous as présenté son show. Donc décidément, je n'aime pas l'artistique experimental... c'est sans doute parceque beaucoup de choses ont déjà été faite et que du coup, les artistes voulant explorer de nouvelles pistes se sentent obligé de ne pas réutiliser ce qui as déjà été utilisé. Donc forcément, dans le lot de ce qu'il reste a faire, l'on as le choix entre ce qui as déjà été experimenté mais sans sucès, des performances techniques et technologiques et l'idée de génie qui mélangera les éléments passé-existants dans un nouvel élan créateur inovant. Sur le coup, je ne trouve pas que cet artiste ais eu le coup de génie. L'avenir prouvera peut être le contraire, je lui souhaite. Il faut cependant reconnaitre que sur le plan technique, il était bon, les rimes étaient bien, quelques traits d'humour auraient pu être fort bien si l'ambiance avait été en place.

L'animation suivante dans un autre bar était beaucoup plus conventionnelle, trois cartes, un billet, deux bouts de ficelles, un peu de flammes et un magicien au bout de tout ça. Rapide, classique, en fait super classique, voire même encore plus. Mais beaucoup plus divertissant même sans générer plus de discours où commentaires que le premier.

Aller, je vais même faire preuve de mes nouveau talents prémonitoires: le prochain message devrait être daté du 28 mais il devrait aussi être particulièrement sybillin :D.

14 septembre 2005

Un temps pour tout, même pour rien

"En terre d'ombre
Brille un sable de fumée
Un éteint d'azur

Futilité y parais
Pourtant si indispensable

Dans poussière senois
Eclat de neige coruscant
Attend ciel corail

Des tourbillons d'émotions
Ont erodées les pensées

La nuit qui s'étend
Change les tons vers le jais
Tel masque céleste

Sommeil propice organise
Le chaos trace ses chemins

C'est nuage d'ivoire
Entourant êtres sépia
Quand parais l'ambre

Brumes de l'âme masquant si peu
Flammes d'esprit devant la nuit"


C'est un essai portant sur les couleurs, encore a l'état d'ébauche il manque encore des tenka pour que s'articule correctement ce renko et les formulations n'exprime pas toujours ce que je voulais dire. Mais je l'écrit quand même ici pour l'histoire car celui qui écrit lit deux fois et ainsi, en posant les idées et les formes naissantes, cela devrais m'aider à forger la forme finale.

Sinon, pas grand chose de neuf, j'héberge toujours Pierre le temps qu'il trouve un logement sur Paris et Stéphanie et Thomas ont passé le week end sur Paris.

De l'autre coté du monde, une amie s'étant exilée pour très longtemps au Canada m'a donné de longues nouvelles, faisant plaisir à lire.

Plus près de Paris, j'ai retrouvé un disque que j'avais acheté et jamais ecouté: Once de Nightwish, et vraiment la voix de Tarja est vraiment Superbe. Bref j'adore et je suis fan.


"Fly to a dream
Far across the sea
All the burdens gone"

06 septembre 2005

Reflexions hors du temps

"Pensée estivale
Une fleur sur les chemins
L'esprit se repose"


Au détour d'une phrase, ou au tournant d'une expression entendue ci ou là, je réalise l'effet de mon appréciation des choses ou des évènements diffère parfois grandement de la manière dont d'autres les apprécient. Non pas qu'il faille que nos visions concordent, mais mon objet n'étant jamais ni d'aggresser, ni de choquer, ni de blesser en aucune sorte, ces quelques mots, phrases où évènements laissent un sentiment de malaise.
Malaise parceque le passé est toujours derrière nous; sa trace se dissipe parfois dans les brumes du temps, mais ce qui est fait où dit ne peut être changé, les erreurs d'appréciations peuvent alors au mieux servir a évoluer soi même et que cela prend à la fois temps et énergie, mais surtout pose beaucoup de questions auquelles il faut répondre.
Malaise parceque les questions appellent des réponses que l'on connais parfois déjà et accepter où modifier ses propres réponses est parfois vraiment difficile.
Malaise parceque l'on doit faire le tri entre ses raisons et ses excuses, que les meilleures excuses sont nos raisons, mais que parfois l'on ne se sent pas le droit de les avancer.
Enfin malaise en réalisant que les conséquences dépassent ce qu'elles auraient du être, ou du moins le semblent t'elles, ce qui me conduit a me demander s'il faut mieux trop où pas du tout.

Bref, j'essaye souvent de projetter mes actions sur un miroir derrière lequel je me tient. Non pas pour prendre la place de l'autre parceque ce serait bien futile sachant que je ne suis pas l'autre. Mais pour que l'autre prenne ma place parceque pour l'autre, l'autre c'est parfois moi. Si ce que je vois alors, ne me plait pas, c'est sans doute qu'il faut changer où du moins peser attentivement les raisons. Le miroir ne m'a rien montré. Peut être ais je oublié de le regarder, à moins que ma perception ne se soit decalée. Dans tous les cas, il va falloir changer...

01 septembre 2005

Bouteille a la mer

"Tel est un nuage
Mot inscrits pour ciel clair
Semblable si changeant"


Un milliard et sept cent milions de centimètres de voix pour dire que je veut faire un million et trois cent milles pas afin de faire avancer le film de presque quarantes images.

Bon, on va encore me dire que je suis trop cryptique et que je ne lache pas les info croustillantes. C'est vrai mais d'un autre coté il n'y as pas d'info croustillante et j'aime bien la tournure de la phrase qui oblige a une vague gymnastique intellectuelle afin d'en sortir pour qui veut des références plus où moins précises désignant tout à la fois: lieux, personnes, action, intention, projet.

De toute manière aujourd'hui, c'est une bouteille a la mer et elle n'est pas encore arrivée.

23 août 2005

Nouvelles photos

Quelques photo commençant a être un peu en retard.

Tout d'abord une ballade que j'ai faite dans Paris un jour ensoleillé: Ballade
Et ensuite un coucher de soleil sur Paris, pris depuis une fenêtre chez des amis: Soleil

Epatant

"Eté qui s'étend
Prévoyant le landemain
Reflet dans un lac"

Voilà, hier soir au téléphone, ma soeur m'a épaté... je lui dit que j'ai commencé a jouer d'un instrument, elle me répond "attend une seconde, laisse moi deviner". Et au premier essai, elle me dit "le saxophone". Et moi qui croyait que ce choix était loin d'être évident, surtout compte tenu du fait que j'ai toujours dit ne pas vraiment aimer le Jazz. Ce en quoi j'avais tord, il s'agit juste de quelques style de Jazz sur lesquels je n'accroche pas.

Bref c'est incroyable de voir et de réaliser comme les gens sont en souvent transparent quand a leurs motivations et réalisations.

22 août 2005

savoir

"Gris sur blanc d'hivers
Passe le cycle des dits verts
Les temps sont divers

La flamme vacille et hésite
Mais hésiter, c'est savoir"


A écouter des idées et des songes, tourbillonnants et changeants, on finit par hésiter. Piégé au milieu des courants, partant chacun dans chaque sens; à peser le pour, à tergiverser sur le contre, et à suivre d'autres idées qui vous éloigne un peu en faisant croire qu'elles rapprochent, on risque de se perdre dans une éternelle hésitation. Lorsque l'on hésite vraiment, c'est sans doute parce qu'on sait mais que l'on ne l'a pas pleinement réalisé.

J'hésite dans trop de domaines actuellement, cela doit changer.

18 août 2005

Liber Colori

"Sonnent les ton clairs
Mitigés où composés
Résonnent couleurs"


J'ai trouvé un petit site fort sympathique Ici. Tout sur les couleurs, comment elles se mélangent, comment elles se nomment, comment elles se décrivent.

La couleur qui me fait craquer actuellement: un Gris pâle teinté de vert très clair tirant délicatement sur le bleu.


16 août 2005

Retard de publication

11 août 2005

Mais...

La vie est belle, mais ce qui se passe en ce moment est nul...

Un appareil automatique m'a refusé mes pièces, pas une, pas deux, non toutes... du coup je défausse la lessive qu'il faut absolument que je fasse sur demain, ce qui va faire un truc tendu de plus a gérer.
Au supermarché, on me refuse ma carte... résultat, va falloir gérer le banquier demain histoire de pas avoir de problèmes.
Le moral évoluant en dent de scie, forcément actuellement c'est un bas... là, je vais pas gérer.
Des gens autour de moi s'enflamme, disent n'importe quoi et font n'importe quoi et après il faut gérer...
J'ai de la paperasse administrative importante en retard... ça va se gérer aussi mais bon...
Au boulot, ça gère encore mais je suis a labours sur le planning...
Emotionellement, c'est le désert, l'oasis la plus proche est loin, je craque et ça gère plus...
Et j'ai pas l'inspiration pour écrire l'Haïku... je gèrerais ça plus tard...

Heureusement, demain soir ça ira mieux... c'est LE point positif, le week end va être super.

10 août 2005

Life is beautiful

"L'été est propice
Les actions y germent seules
Que la vie est belle"


Bon, la vie est belle... J'aurais toutefois deux où trois revendications a faire au support technique.

J'ai un mollet (le droit pour être précis) qui revendique actuellement ses 3 points de stress et qui rate son jet le matin vers 7h. Certe le reveil est dynamique et top efficace, masi 'tain, ça fait mal une crampe de bon matin.

J'ai aussi un talon (le gauche, histoire d'être équitable) qui lui exprime son mécontentement et son refus d'être ecrasé par terre a chaque pas que je fais. 'tain ça fait mal aussi mais quand même beaucoup moins.

Et autour de moi, le chaos tente une percée multifrontale... Depuis le 8 Aout, j'ai reçus plus d'une trentaine de messages privés, lu plusieurs dizaines de pages de messages du a ce qu'on pourrais qualifier d'explosion exhubérante post décisionelles. C'est dingue de voir comme quelques informations de nature associatives peuvent déchainer les passions. Bon là ça fait pas mal et je vais pas m'en plaindre parceque ça prouve qu'il y as des personnes motivés. Un peu plus de serenité serait quand même pas mal.

A part ça, un week end de folie s'annonce, la magie des télécomunication permet de discuter en direct avec l'autre bout du monde, et le saxophone est un instrument vraiment génial.

04 août 2005

Fusion

"C'est pour mille personnes
Que s'expriment ces mille personnes
Saisons qui avancent"


Première réunion officieuse de l'association, les choses avancent, et apparement il y as de nombreux projets divers et ambitieux. Apparement tout le monde est emballé même si il reste encore bien des gens a convaincre. En tout cas, ça fait plaisir de voir plein de gens motivé pour aller dans une direction que je pense interessante. Reste a faire les choses dans l'ordre avec méthode et sérieux. Non parceque c'est un peu comme pour le reste, si il est nécessaire de nourrir le chaos qui est a l'origine des idées, il faut par contre les suivres avec ordre et méthode parceque sinon ça part vite en vrille et ce serait dommage.

03 août 2005

Singularité

"Dawn of a new day
Darkness of another day
Despair has no day

Singularity of life
Which should not be understood"


Parfois il faut simplement ne pas chercher a comprendre.
Pour les sous-titres: je suis dans un état d'Oxymore.

02 août 2005

Message sans destinataire

"Ce monde de rosée
Est un monde de rosée
Pourtant et pourtant"
Issa (traduit du Japonais)


Haïku, Tenka et Renko, 3 formes de poêmes Japonais qui meplaisent beaucoup. Dans ma quête d'information, je me rend compte que les Tenka que j'ai pu écrire ne respectait pas toujours la forme traditionelle, ce qui est dommage car elle apporte un rythme assez particulier.

L'Haïku est composé de 3 lignes de métriques 5-7-5 avec obligatoirement un "kigo", c'est a dire une référence symbolique où non à la nature où aux saisons. Il n'y as pas d'autres obligations, pas de rimes, pas de rythme, mais la brièveté oblige a concentrer les symboles et a extraire l'évanescence du contenus.

Le Tenka, forme plus ancienne est composé d'un haïku suivit par deux lignes de métriques 7-7. Le point que j'avais omis dans mes compositions précédentes, c'est que dans le Tenka, l'haïku donne une image de la nature (par le kigo), tandis que les deux lignes suivantes font références aux sentiments humains.

Quand au Renko, c'est une succession de Tenka Dans laquelle chaque Tenka fait référence aux deux dernières lignes du Tenka précédent. C'est une sorte de cadavre exquis poétique, souvent écrit d'ailleur par des personnes différentes.

Je conclurais par ce Renko, il était destiné a une personne qui ne le lira pas et comme je n'ais pas envis de le voir prendre la poussière au fond d'une étagère, autant le partager.


"Under sparkling light
Autumnal sun is shining
at last It rained
Reflection into water
A few clouds are turned over

The time smiles and shine
Under a sky of eternity
Finally forever
A candle wavers this night
The flame melting in my eyes

Madness of the soul
A discrete breath is crossing
Madness of the heart
By the prism of emotion
Beyond the words... You know"

31 juillet 2005

Tomates

"Silence si bruyant
Dans une plaine d'incertitudes
Pourtant si claire"


Une fin d'Arts & Run, pas envie de jouer, incapable de dormir... Le week end fût excellent, de très bon souvenirs se sont forgés, mais la nuit et la fatigues sont propices aux méditations. Où pas... c'est a voir car ça ne me conduit nulle part; à peine devant mon propre miroir. L'image ne me semble pas trop mauvaise, juste deux où trois chimères qui trainent paresseusement, quelques erreurs entachant le parcours, une série de bourdes ci et là, pas de grandes catastrophes, des restes de projets, des ébauches de nouveaux. Où aller ? ma boussoles m'indique une direction, ma carte en dit une autre, mon passé une troisième. Finalement, c'est sans doute le temps qui choisira. Vent d'orient ? souffle d'occident ? Une brise de printemps ? Où un souffle d'automne... A moins qu'un soupir de l'été. Au moins j'espère un brin de poésie, c'est déjà ça.

A part ça, vraiment un bon week-end et je peut epingler un badge de consultant en scénario, c'est cool. J'aurais ajouté une brique dans bien deux tiers des scénarios.

Tient, une spéciale dédicace pour Antoine, toi qui souhaite lire de l'artiste torturé, cet haïku est pour toi si tu me prète le pompeux titre d'artiste...

"Tristesse passagère
Un temps en un demi ton
Et que tourne l'âme"


Et la question de quatre heure pour finir: "Où est le manuel ? lorsque j'essaye de faire quelque chose pour moi ça échoue lamentablement, j'ai pas du lire correctement les instructions..."

Parfois c'est si difficile de conserver mon crédo, quel que soit la réalitée, il faut projeter du positif pour entrainer de nouveaux effets positifs. Bref sourire quoi qu'il arrive...

Sinon là c'est vraiment finis, tout s'est terminé dans la fatigue et la bonne humeur. Quelques inconscient partant pour une after... les autres terminant de plier les cartons. Les salles sont rendus, les clef restitués. C'est impecable, on recommencera bientôt.

Ha oui, il restait une quantité certaine de tomates :P

27 juillet 2005

Sortie de warp

"Temps qui passe là-bas
Tournent idées et émotions
Hors du temps ici"


Voilà, je suis en train de sortir du champ de warp généré par la Golden Run de ce week end.

La cinquième édition fût un grand succès et je ne suis pas encore assez clair pour en parler longuement, d'autant plus que actuellement mon temps ne m'appartient pas et que j'ai l'impression de le voir filer sans pouvoir contrôler quoi que ce soit. Tout va trop vite et trop lentement à la fois.

Je pense que après ces 72 heures de jeu de rôle, interrompus par quelques heures trop brèves de sommeil, puis une after, puis beaucoup de sommeil, puis une tentative de nouvelle after, puis, etc... je vais me retrouver propulsé sur les routes pour Caen entre aujourd'hui et demain, puis revenir pour le week end et enchainer sur les séquelles avec la rencontre suivante...

ça va vite, très vite, mais c'est génial.

22 juillet 2005

Mi-ballade, mi-sol

"Cent sont les chemins
Mais dans une plaine boisée
Chacun trouve sien"


Balladant sur Internet, je cherchais de nouvelles pistes pour bien progresser. A la recherche de quelques renseignement techniques, je suis tombé sur ce site et celui là. Des schémas clairs, des explications simples et efficaces. Je crois que j'appréhende chaque jour un peu plus cet instrument mythique.

Je ne suivrais pas la voie académique pour en jouer, mais il y as tellement de possibilité, de styles et d'attitudes que je devrait réussir a trouver une voie qui me conviendra.

Petit imprévus cependant mais tellement chaotique, si j'en crois certaines info glanées ci et là. je vais devoir développer des talents de menuisier en plus; juste histoire de savoir tailler les anches afin de créer le son qui sera mien.

21 juillet 2005

Respiration

"Voie du vent d'été
Cycles croisées emmêlés
Le souffle d'hier"


C'est clair, je ne respire pas comme il faut, du coup, le sol même s'il est audible, n'est pas comme il faut. Du coup, l'entrainement va devenir un peu plus physique, détendre les muscles, faire bouger le diaphragme de manière indépendante, contrôler le mouvement des cotes, tout ça... J'ai trouvé quelques exercices intéressant pour parvenir au résultat souhaité dans des cours de karaté, ils disent 5 fois par jours pendant 2 semaines. Donc normalement à la mi août je devrais avoir une respiration correcte pour produire un sol qui vaille le détour.

Aller, au passages quelques lien sur le sujets, ça peut toujours servir
Définition et explications diverses (médicale)
Définition et explications diverses (Application au chant)
Définition et explications diverses (Application au karaté)

20 juillet 2005

Sol

"C'est un ton plus haut
Que vibre la claire note
Mais un ton plus bas"


Difficile accord, pour l'instant, je travaille le sol et on as pas idée comme ça, mais c'est pas facile d'obtenir un jolie sol, bien comme il faut, qui ne vibre pas, avec une attaque franche et douce à la fois et qui se termine harmonieusement et non pas dans un souffle.

Mais je progresse, c'est pas encore ça, mais il y as beaucoup de mieux.

16 juillet 2005

Juste maintenant

"Noir comme ténèbres
Les étoiles sont endormis
Où est cette aube ?"


Blues, Spleen, Idées noires...

Philosophie de mes actions, dissection de mes intentions. Non vraiment, rien a changer sur le fond, où si peu, où tant. Et pourtant il n'y as pas de raison, et ça c'est vraiment déprimant.

Je suis rattrapé par un paradoxe. Une déprime sans raison, sans but et sans fondements; irrationelle, ridicule et qui plus est, inutile...

Il fera jour demain, et le soleil luit pour tous.

10 juillet 2005

Chambery débarque à Grand-Serre

"Emotions d'été
Quand chaos devient musique
Une note est ici"


Après 1200 Km de route, Après une douzaine d'appels téléphonique a des fin de radioguidage, Après de très bon moments, Après beaucoup de rire, Après beaucoup de bonne humeur, Après Enormément de plaisir, voici que s'achève ce week end un peu speed.

Départ ce samedi de Paris, Arrivé à Grand-Serre dans la soirée en compagnie de Lara et Pierre que l'on a recuperé au passage a Chanas. Tout ça pour assister au concert d'un groupe rock de musique Chambérien montant: les H3O+ ce fût un super concert donné dans l'unique bar restaurant du village. Vraiment très bien (le lien vers les photo sera ici prochainement).

Pour la suite, tout s'enchaine très vite, on kidnappe Vincent (le chanteur du groupe). Puis on fait un peu de tuning sur sa voiture (deux enceintes de 1000 Watt, un peu de béton coulé dans les portières pour l'isolation, tout ça...) et on revient sur Chanas où nous rejoindra Gregory, pour enchainer sur un scénario de shadowrun vaguement inspiré du petit village précédent: "Voir Grand-Serre et mourrir". De l'action, de l'émotion, un peu d'enquête (mais juste un peu alors) et des effets spéciaux engendrant beaucoup de stress.

Puis un chouillat de repos avant de reprendre la route dimanche. Il parais qu'il devait y avoir plein de monde sur les routes ce week end, on a vu presque personne en fait. Histoire de gérer la fatigue restante, Lara m'a remplacé au volant pendant presque la moitié du trajet retour. ça fait bizarre de pas conduire son véhicule, mais on s'habitue. Faudra recommencer :D


07 juillet 2005

Anniversaire

"Regard sur le temps
Un an s'égrène et parais
Les roues sont oranges"


Hier fûrent fétés les anniversaires de Yassil, Olivier et Jonathan. La soirée fût grandiose, et la phrase de la soirée restera certainement: "c'est un vélo! avec deux roues !! et il est orange !!!". Que dire de plus de cette soirée de débauche ? en fait rien, juste laisser l'imagination faire son oeuvre en laissant quelques clef d'interprétation: des plans nombreux monté en quelques minutes, un concours a base de bière, des complots a la pelle, un vélo, des discours somptueux, plein de monde et une bonne ambiance.

Et ça c'est terminé par une partie de shadowrun jusqu'au matin, ambiance decontracté sur fond jazzie du coté de Djakarta. Merci Olivier pour cette partie.

23 juin 2005

Dans le chaos de l'esprit

"Changer sous étoile
Chaos devient mouvement
Brille l'étincelle"


Lorsqu'une rune de chaos est posé, il faut s'attendre a des effets imprévisibles en plus bien sur des perturbations de planning. C'est ainsi que germent parfois des idées bizarres, étranges où complètement décalés.

Courant le risque de ne pas être compris, je n'en dirais guère plus, juste que l'une de ces idées de chaos concerne mon avenir professionnel, va nécessiter un investissement considérable, et que je me forge de nouveau talents... bref une lourde décision à prendre pour faire grandir l'étincelle de chaos où pour l'ignorer. Si dans l'année qui vient (et la suivante mais guère plus) je deviens injoignable, invisible et introuvable, ce sera sans doute le signe que j'aurais suivis cette idée.

Quand à la seconde idée originaire du chaos, elle est plus légère mais nécessite aussi un gros investissement personnel. Si je la met en oeuvre, ça se saura assez vite (-;

20 juin 2005

Ils brûlerons tous !

"Médiévale journé
Où drames et rôles se délient
Tournent vie passées"


Superbe soirée enquête à la Cropte de Chantérac (chez Guillaume et Laeticia dans le compté de Grenoble en fait).

Ambiance médiévale, musique d'ambiance, buffet où reposaient vin épicé, ambroisie, et autres liqueurs d'autant accompagnés de succulents mets aux recettes aussi ancienne que bonnes.

De nombreux occupants en tenue d'époque sous un soleil complice nous rappelant souvent sa présence réchauffante (30 degré avec tabart, surcôt, tenue de peau pour certain). L'ambiance est courtoise, le language venus d'antant participe pleinement a l'ambiance. Quelque personne vétuent étrangement circulent cependant au milieu de nous (des invités venue pour la crémaillère et le mariage mais ne participant pas à l'enquête).

Puis commence l'histoire, accompagnés et guidés par nos hôtes et organisateurs, de petits groupes se forment, discutent, commèrent, changent. Au rythme des indices trouvé dans les diverses pièces du manoir, les rumeurs se répandent, nombreuses et parfois surprenantes. Chacun cherchant a préserver ses petits secrets tout en découvrant ce qui se trame dans ce petit domaine (pour ma part, inquisiteur avant l'heure, je traque sorcière, hérétiques et infidèles... et il y en avait).

De confidences en confessions tout en passant par les menaces, tentatives de séduction où simple corruption, les histoires progressent.

Puis le temps se suspend quelques instant, pour qu'un druide puisse célébrer le mariage de Guillaume et Laeticia. Un beau mariage sur fond celtique, sincère et émouvant. Nature, spiritualité et échanges, il s'agissait d'une cérémonie comme j'en ais rarement vue.

Après une coupe d'ambroisie, le jeu reprend à Chantérac, mais le dénouement est proche. De nombreux secrets ont circulés, des choses sont revélés et l'assasin frappe encore. Precipitant les choses et révélant un terrible mystère.

Les armes parlent brièvement, la foule est dispersée mais le "mal" est fait, une part de la verité a éclaté au grand jour.

Pour conclure, félicitation pour Guillaume et Laeticia pour cette oeuvre originale que nous avons tous eu le plaisir de jouer. Egalemnt meilleurs voeux de bonheur.

PS: desolé Thomas bour t'avoir mis au bucher, mais tu comprend bien que je ne pouvais pas laisser un Albigeois s'occuper de cette Chapelle (-;

18 juin 2005

Proche lointain

"Etrange sensation
Comme une vie qui défile
Loin et proche pourtant"


A grenoble pour le week end, et demain, une murder partie médiévale, ça va être génial !!!

15 juin 2005

Interlude

"Silence et demi
Le temps s'arrête un instant
Instant pour le temps"


Peu de choses a dire, des vacances reposantes, une rune de chaos qui flotte sur mon temps, une demi-verité subconsciente mise a jour, un grand projet en projet, un autre en cours de construction et une urgence inattendue mais prévue.

Bref, dit comme ça, on dirait un sommaire, rien de clair n'est encore expliqué, ça va venir.

Les vacances:
Une semaine a Grenoble, un petit détour par Marseille, un autre par Manosque. Il semblerais que j'ai pas mal voyagé ces derniers temps. Je n'ais pas vraiment pris le temps, mais j'ai l'impression que c'est comme ça qu'on le prend vraiment, à moins que ce ne soit l'inverse. En tout cas j'ai revus quelques amis et ça fait plaisir.

La rune de chaos:
Pour faire bref, un évènement en déclenche d'autres qui eux mêmes en entrainent de nouveau, puis quelques évènements déclencheurs disparaissent, laissant une chaine de conséquences sans causalités, c'est a dire des évènements pseudo-indépendants. En fait, ça déprime un peu, mais comme c'est aussi un élément moteur faisant bouger les choses, les conséquences peuvent être largement suffisantes pour compenser.

Une demi-verité:
Je ne vais pas m'étendre, disont simplement que j'ai pris conscience de quelque chose d'ancien ayant largement influencé ma vie. Je le savais depuis longtemps en fait, mais il y a un gouffre entre savoir et comprendre. Maintenant que j'ai compris, de nouvelles portes sont en train de s'ouvrir.

Le projet en projet:
Un projet a long terme motivant, mais comme je ne pourrais pas le lancer avant le mois prochain, il reste en projet pour l'instant. Voulant également cultiver une part de mystère, je n'en parlerais qu'a mot couvert jusqu'a ce qu'il soit proche de la fin.

Le projet en cours:
Pas de mystère là, c'est le montage de l'association. Echéance demain.

Urgence:
Là, c'est simple, clair, net et sans zone d'ombre. Je participe a une soirée enquête médiévale ce week end, j'ai un rôle, mon temps est limité et il me faut le costume approprié. Quelqu'un aurais une robe à me préter ? Pour bien faire, il me faudrait aussi une perruque...

Voilà, nonobstant ce que j'aurais oublié où dont je ne voudrait pas parler, c'est a peu près tout.


"Ich bin Schnappi das kleine Krokodil,
komm aus Ägypten das liegt direkt am Nil.
Zuerst lag ich in einem Ei,
dann schni schna schnappte ich mich frei.

schni schna schnappi schnappi schnappi schnapp"

02 juin 2005

Reflexions

"Tel vent de printemps
Changent les idées pensées
Reflets sur un lac"


Suite a une discussion de fin de soirée sur des contradictions philosophiques, voici a venir un essai de reflexions sur la nature des opinions. Il est a prendre comme une simple expression de ma reflexion, où juste a consulter où pas, c'est selon mais dans tous les cas tellement dans l'esprit de la reflexion.

Alors, quand même une question pour commencer, où une affirmation... Mais en fait plus une question que je vais reformuler différement: As t'on raison d'avoir raison ? Le postulat de base va paraitre trivial mais il dit en gros que si l'on as raison, c'est que l'on as ses raison et qu'elles sont bonnes parceque sinon l'on aurais pas raison.

Pour soi même, ça marche pas trop mal, on as de bonnes raisons qui nous donnent raison, tout vas bien. Mais dès que l'on confronte sa raison a celle des autres, rien ne vas plus. Brutalement, l'autre nous dit qu'il as raison (où s'il le dit pas, il le fait comprendre). Bien sur c'est reciproque mais là n'est pas la question. Maintenant parfois, la raison de l'autre est la même que la notre, on a donc raison, c'est sympa, tout va encore bien. Quoique, ses raison sont elles les mêmes que les miennes ? Mais là aussi c'est une autre question, j'y reviendrais (où pas). Mais parfois sa raison est différente et là, c'est le drame. Parceque si sa raison est différente de la mienne, c'est que l'une des deux est fausse (raisonement dichotomique de base, pas forcément vrai d'ailleur mais une fois de plus, c'est une autre question). Et si l'une des deux est fausse, c'est que c'est la mienne la vrai, puisque j'ai des raisons pour avoir raison. Vu que j'ai raison, je me doit de convaincre l'autre, de lui communiquer mes raisons pour qu'il se range a ma raison. Bien sur comme j'ai raison, je crois en ce que je dit, je suis donc convainquant, et finalement l'autre finis par avoir raison autant que moi puisqu'il as accepté mes raisons et que nos raisons sont désormais les mêmes. Mais là, tout peut avoir déjà basculé depuis longtemps, car si j'échange mes raisons, il n'y as pas de raisons que l'autre n'en fasse pas autant. Et tout comme il peut accepter mes raisons, je peut accepter les siennes. Au final, je pourrais me ranger a sa raison puisque j'aurais toutes les raisons de le faire. En plus, ayant raison, l'autre sera convainquant, il croira a ce qu'il dit. Mais n'a t'on pas là une sorte d'homogénéisation des raisons ? Si tout le monde échange ses bonnes raisons avec tous les autres, tout le monde va avoir les même raisons, et donc tout le monde aura raison et ce sera la même... Pour répondre a une question non formulé, je crois que là se trouve un réel "aplanissement des raisons".

Maintenant, on n'est pas toujours dans ce cas idéal. Bien souvent, les raisons nous donnant raison nous sont propres, en rapport avec notre passé, la manière dont l'on voit les choses, notre éthique, notre morale, et des tas d'autres choses qui sont les fondements de notre individualité. Partant de là, nos raisons perdent leur caractère absolut et deviennent relative. On continue a avoir raison, on as toujours des raisons pour, elles n'ont pas changé, ce sont les même. C'est juste au moment de l'échange où les raisons que l'on reçoit ne sont pas celle qui nous ont été donné. Les raisons de l'autre étaient raisons dans son individualité; lorsqu'elles intègre la notre (d'individualité), elles se transforment, deviennent autre, restent parfois des raisons, mais peuvent aussi disparaitre où s'affaiblir parceque notre individualité est différente de celle de l'autre. Bien sur il faut toujours sortir son miroir et appliquer cela à l'autre sens de l'échange des raisons. Nos raisons si réelles dans notre individualité peuvent totalement disparaitre dans l'individualité de l'autre où pas. Et l'on se retrouve dans une situation où la somme des raisons de plusieurs individus conduit à des raisons différentes pour chaque individus et où chacun pourra avoir raison en fonction de ses raisons propres. Les raisons pourront être différentes sans qu'aucune ne soit fausse... Toujours pour répondre a la question non formulé, ici l'"aplanissement des raisons" repose sur le fait qu'une raison n'a pas de raison d'être prédominante par rapport a une autre, mais en réalité, on as une diversification des raisons.

Pour conclure parceque je ne suis pas sur d'avoir raison mais qu'en couchant les mots, il devient possible d'échanger des raisons, de pointer des erreurs, de changer des reférentiels afin de faire évoluer les raisons de chacun, je dirais juste que la vrai réponse à la question non formulée dépend de la perception que l'on as des raisons de l'autre, et de l'acceptation de ses raisons comme étant valide, valable, véritable où non.

On peut toujours changer ses raisons, et souvent cela permet de changer sa raison. le tout étant de savoir quelles sont les raisons qui comptent vraiment, de savoir quelles sont les raisons que l'on veut garder, celles que l'on veut partager, celles qui nous mentent et celles qui sont verité.

En évitant de trop aborder les raisons de nature quantique ayant donc plusieurs natures possibles en même temps mais qu'on ne peut connaitre qu'en les regardant, ce qui forcément va les faire changer.